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Les besoins en professionnels de la cybersécurité connaissent une croissance dans tous les secteurs : +49% d'offres publiées entre 2019 et 2024 selon l'Observatoire 2025 des métiers de la cybersécurité publié par l'ANSSI. Cela représente plus de 23 000 offres d'emploi recensées entre juin 2023 et juin 2024.
Toutefois, la réalité du marché du travail présente des nuances importantes. Malgré cette croissance en effet, certains jeunes diplômés rencontrent des difficultés pour accéder à leur premier emploi, y compris après un cursus de 5 ans avec spécialisation en cybersécurité.
L’explication en est double :
Quoi qu’il en soit il convient de souligner qu'il n'existe pas de parcours unique pour accéder aux métiers de la cybersécurité. Au contraire, une grande diversité d'écoles et de formations coexiste pour répondre aux besoins des entreprises (sécurité de l'information, IA, data, droit du numérique, etc.) et aux aspirations des étudiants. D'ailleurs, parmi les professionnels en poste, seuls 33% disposent d'un diplôme spécifiquement orienté sur la cybersécurité, et 63% ont un diplôme en informatique générale. Ceci révèle une filière encore jeune alimentée par des parcours diversifiés et des reconversions. Dans quelques années, la composition sera rééquilibrée en faveur des formations entièrement dédiées aux réseaux et à la cybersécurité, qui sont pour certaines très récentes.
Quelle formation en cybersécurité choisir ? Quelle est la durée d'une formation en cybersécurité ? Écoles, diplômes, débouchés professionnels, rémunérations… Cet article examine l'ensemble des questions à se poser avant de s'engager dans des études en cybersécurité.
Le secteur de la cybersécurité est vaste ! Il se compose de différentes familles de métiers, plus ou moins centrées sur la maîtrise de l'informatique, de l'administration systèmes et réseau, du cloud, ou de la GRC (Gouvernance, Risques, Conformité) - et disposant chacune de voies d'accès différenciées.
Parmi ces métiers, les postes les plus recherchés en 2024 sont ceux d'architecte cybersécurité (21% des offres), de consultant (15%), d'ingénieur (15%), d'analyste (8%) et d'expert (7%). Le profil type du professionnel en poste dispose d’un niveau de qualification élevé : 62% ont ainsi un Bac+5, 12% un Bac+6 ou plus, et 88% exercent en tant que cadre.
Les formations de niveau Bac+2 constituent une première immersion dans l'univers de la cybersécurité. Le BTS CIEL (Cybersécurité, Informatique et réseaux, Électronique) offre notamment une base technique assez large, permettant d'acquérir les fondamentaux des réseaux, des systèmes et de la sécurité informatique.
De son côté, le BTS SIO (Services Informatiques aux Organisations), et surtout son option SISR (Solutions d'Infrastructure, Systèmes et Réseaux), forme plus spécifiquement aux métiers de l'administration systèmes et réseaux, tout en introduisant également les bases de la cybersécurité et de la sécurité du cloud.
Cette formation est donc réputée préparer notamment aux fonctions :
Si l’insertion professionnelle directement à l’issue de l’un de ces deux BTS reste actuellement envisageable, en pratique il faut toutefois reconnaître que le niveau de compétences à la sortie est fréquemment jugé comme insuffisant par les employeurs pour réellement accéder à ces postes. Les emplois directement à la sortie du BTS correspondent donc le plus souvent à celui de technicien support informatique de niveau 1 ou 2, qui sont également accessibles via d’autres formations telles le titre professionnel TSSR (technicien supérieur systèmes et réseaux).
En effet, le marché de l'emploi pour l’administration système et réseaux reste fortement orienté vers les profils Bac+3 et supérieurs. En fait, le niveau Bac+5 représente même la cible de près de la moitié des offres publiées... Pour une part significative d'élèves, la poursuite d'études au-delà du Bac+2 s'avère donc plus que pertinente.
Concernant les études en cybersécurité de niveau Bac+3, plusieurs types de formations se distinguent.
Les cursus généralistes développent une compréhension globale des systèmes informatiques, socle indispensable pour appréhender toute la complexité des enjeux de sécurité. Les formations spécialisées, de leur côté, offrent une immersion plus rapide vers l’univers de la sécurité informatique, avec une composante importante de projets concrets.
À l'issue de l'une de ces formations en 3 ans, vous aurez deux options : entrer directement sur le marché du travail grâce à votre expertise opérationnelle, ou poursuivre vers un diplôme en cybersécurité de niveau Bac+5. Notre conseil ? Tout dépend de votre situation !
Soyons clairs, le niveau Bac+5 est devenu indispensable pour viser les postes stratégiques en cybersécurité. C’est un standard attendu par la majorité des recruteurs pour les postes à responsabilité. Trois grandes familles de formations se détachent :
Ces formations de niveau Bac+5 permettent d'acquérir une vision stratégique de la cybersécurité, tout en développant des compétences techniques de haut niveau. L'alternance, souvent proposée en dernière année dans les écoles d’ingénieurs, facilite grandement l'insertion professionnelle. Chez Cybersup, les programmes ont été conçus pour faciliter l’entrée en alternance à partir du bachelor 3, sur un cycle de trois ans.
À noter avant de se former à la cybersécurité : avant de foncer tête baissée dans une formation en cybersécurité, vérifiez la reconnaissance de la formation souhaitée par l'État. Les titres RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) ne sont pas qu'un détail administratif. Ils garantissent que les compétences développées dans ces formations répondent à des standards de qualification professionnelle reconnus par l’État et aux besoins des entreprises en matière de cybersécurité. Les formations délivrant un titre RNCP permettent également de financer intégralement sa formation en alternance.
La durée optimale dépend avant tout de votre projet professionnel et de vos ambitions. Gardez bien à l’esprit cette réalité : sans un niveau Bac+5, l'accès à certains postes stratégiques en cybersécurité s’avère difficile. Les architectes en cybersécurité, les RSSI (Responsables de la Sécurité des Systèmes d'Information) ou encore les consultants seniors sont généralement diplômés d'un Bac+5 minimum.
Les titres RNCP de niveau 7 (équivalent Bac+5) présentent l'avantage de combiner expertise technique et compétences opérationnelles, directement mobilisables en entreprise. Et cela est d’autant plus vrai si vous choisissez de vous former à la cybersécurité en alternance.
Lire aussi : Les métiers de la cybersécurité accessibles aux juniors en 2025.
Face à la demande croissante des entreprises pour des profils en cybersécurité, le paysage des formations s'est considérablement enrichi ces dernières années. L'offre de formation en cybersécurité est aujourd’hui structurée autour de trois grandes familles d'établissements.
L'université française propose un large éventail de formations en cybersécurité, du BUT au Master. La principale caractéristique de ces parcours ? Une approche académique, qui combine enseignements théoriques et travaux dirigés, sous la supervision de professeurs attitrés.
Les écoles d'ingénieurs, qu'elles soient généralistes ou spécialisées en informatique, proposent pour la plupart des formations de haut niveau en cybersécurité. Vous connaissez forcément l’EPITA, Télécom Paris, CentraleSupélec, l'ESIEA ou encore l’ISEN, des établissements de référence dans le domaine.
Ces écoles se distinguent par leur capacité à allier compétences techniques pointues, culture scientifique et développement des soft skills. Les diplômes délivrés sont reconnus par la Commission des Titres d'Ingénieur (CTI), qui va prendre en compte dans son accréditation des dimensions comme la part d’enseignants-chercheurs parmi les enseignants, l’ouverture à l’international…
En général, les élèves ingénieurs sont réputés pour leur polyvalence. Ces diplômes ouvrent donc les portes des postes à forte responsabilité dans les grandes entreprises et les structures sensibles.
Peut-être moins connues que les écoles d’ingénieurs, mais tout aussi qualitatives pour certaines, des écoles spécialisées en cybersécurité ont émergé pour répondre aux besoins spécifiques du secteur.
Des écoles comme Oteria ou Cybersup incarnent cette tendance, en proposant des formations spécialisées à la cybersécurité dès la 3e année d’études, gage d’une forte professionnalisation, du Bachelor 3 au Mastère 2. De son côté, Cybersup privilégie une pédagogie intensive mixte (cours et projets encadrés en petit groupe) pour inciter les étudiants à trouver leurs propres solutions, dans un contexte de forte pression. Ils sont ainsi encadrés au plus près, par des intervenants aguerris et exigeants.
L'atout majeur de ces écoles réside dans leur agilité : des programmes actualisés en continu, des intervenants issus du terrain avec une double casquette professionnel / formateur, des projets en lien direct avec les problématiques actuelles des entreprises. La plupart proposent également l'alternance dès la troisième année, un atout de poids pour l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Chez Cybersup, la pédagogie est adaptée en continu pour refléter les attentes des maîtres d’apprentissage, par exemple en intégrant de nouveaux cours ou des conférences dédiées à des thématiques précises au fil de l’année. En effet, l’objectif reste de tirer le parti maximum de chaque alternance et d’aider l’alternant à briller au sein de son entreprise !
Si certaines écoles en cybersécurité ciblent des métiers spécifiques, d’autres, comme Cybersup, souhaitent développer une vision à 360°, laissant aux étudiants la possibilité de se diriger vers le métier de leur choix à leur sortie d’études, avec une orientation finale uniquement en 2e année de mastère. Dans le même esprit, pour favoriser la pluridisciplinarité, plusieurs cours et projets sont menés en commun avec les différentes formations (par exemple, des cours avancés sur Python conjointement avec le Mastère Data et IA).
La cybersécurité offre un vaste terrain de jeu. Secteur public, finance, santé, industrie... Chaque organisation a besoin d'experts s’adaptant aux spécificités sectorielles, voire à des réglementations dédiées (telles DORA pour le secteur financier). Mieux encore, les métiers évoluent constamment sur le plan technologique, avec notamment l’arrivée du cloud hier, de l’IA aujourd’hui, du quantique demain ! De quoi nourrir votre curiosité tout au long d’une riche carrière professionnelle, sans risque de vous lasser.
Le domaine est ainsi loin de se limiter à des profils purement techniques, mais s’ouvre au contraire à des expertises variées, désormais enrichies par l’IA ou encore par le droit du numérique.
Les formations courtes comme le BTS CIEL (Cybersécurité, Informatique et réseaux, ÉLectronique) ou le BUT Réseaux et Télécommunications forment des techniciens qualifiés pour des postes opérationnels.
Elles ouvrent les portes de métiers tels que :
Ces professionnels exercent leur activité au sein d'entreprises ou chez des prestataires informatiques. Des postes parfaits pour poser les bases et comprendre la réalité du terrain avant de viser plus haut.
Les diplômés d’un Bachelor cybersécurité peuvent en principe entrer directement sur le marché du travail et occuper des postes tels que :
Avec la généralisation des masters cependant, elle-même résultant du succès de l’alternance, le niveau Bac+3 seul pourrait ne pas suffire à terme. Un conseil : si vous ne disposez que d’un Bac+3, et que vous ne pouvez pas poursuivre ou reprendre un master, maintenez votre employabilité en passant régulièrement des certifications techniques (CISSP, Cisco…) !
Les Masters et MSc cybersécurité, formations plus longues et plus pointues, donnent accès à des métiers à plus hautes responsabilités tels que :
Ils donnent aussi accès à des fonctions plus spécialisées comme :
Cette liste n’est, bien sûr, pas exhaustive, mais elle a le mérite d’illustrer la richesse des parcours possibles. Les professionnels de la cybersécurité interviennent sur un large spectre de missions, qui a d’ailleurs tendance à s’élargir : protection des infrastructures réseau, sécurisation des applications, gestion des identités et des accès, analyse forensique, veille sur les menaces, sensibilisation des utilisateurs... Leur périmètre d’intervention ne cesse de s'étendre avec l'IA et l'IoT. De quoi satisfaire tous les profils, que l’on soit plutôt attiré par la technique pure, l'analyse de risques ou encore la stratégie.
Secteur public ou privé, PME ou grand groupe, la cybersécurité concerne aujourd'hui l'ensemble des organisations, quels que soient leur secteur d’activité et leur taille. Bien sûr, certains secteurs ont plus particulièrement besoin d’experts en cybersécurité, notamment les entités exerçant des missions critiques : énergie, télécommunications, finance et assurance, industrie manufacturière, secteur public, santé, etc.
Ces besoins accrus en cybersécurité offrent une liberté de choix assez appréciable. À l’issue de votre formation en cybersécurité, vous pouvez donc envisager d’exercer dans un grand groupe industriel, une ESN, une administration, devenir consultant indépendant (après quelques années d’expérience), etc.
Comme l’illustre le Livre Blanc publié par Cybersup Construire son avenir en cybersécurité, les professionnels de la cybersécurité s’accordent sur un point : ils ne s’ennuient jamais et doivent en permanence faire évoluer leurs compétences. Si cette situation implique dans certains cas une part de stress, elle ouvre également des perspectives d’épanouissement professionnel.
Après quelques années d'expérience, les évolutions des juniors vers des postes à responsabilité sont fréquentes : chef de projet sécurité, puis RSSI / assistant RSSI, voire à terme directeur cybersécurité. La vision transversale acquise dans ces métiers permet également d'évoluer vers des fonctions de direction des systèmes d'information, qui nécessite toutefois des compétences renforcées en gestion de projet ou en pilotage financier.
Chez certains professionnels, cette prise de responsabilité s'accompagne d'une certaine fierté : protéger les données sensibles, garantir la continuité d'activité des organisations, contribuer à la souveraineté numérique… toutes ces missions ont du sens et ont un réel impact sur la vie de chacun.
L’essor de la data et de l’IA, la multiplication des objets connectés, le développement du cloud et l’évolution constante du cadre réglementaire (NIS 2, IA Act, etc.) alimentent une demande croissante pour des experts en cybersécurité.
La cybersécurité se positionne parmi les secteurs les plus rémunérateurs de l'informatique, reflet de la pénurie de compétences et de la valeur stratégique de ces métiers.
Le cabinet de recrutement Michael Page estime qu’un jeune diplômé disposant d’un niveau Bac+5 entrant sur le marché du travail avec une première expérience significative (stage de fin d’études, alternance) peut prétendre à un salaire annuel moyen fixe brut entre 40 000€ et 45 000€ en fonction de sa localisation (Paris ou région).
Le Baromètre 2025 des salaires de l’informatique du cabinet Silkhom indique que l'évolution des salaires dans la cybersécurité en France suit une belle courbe de progression. La cybersécurité tire les salaires IT vers le haut.
Les métiers de la cybersécurité ont connu parmi les plus fortes hausses salariales entre 2024 et 2025, avec notamment +13,9% pour les DevSecOps et +12,9% pour les chefs de projet infra. Toujours d’après cette étude, les chefs de projet infra affichent un salaire brut annuel de 58 750€ et figurent donc parmi les mieux payés, tout comme les DevSecOps et les ingénieurs cybersécurité, avec 50 000€ chacun.
La question des salaires dans la cybersécurité est une question complexe. Ces chiffres méritent d'être nuancés, car plusieurs critères influencent significativement la rémunération des professionnels de la cybersécurité.
La taille de l'organisation : l'ANSSI observe que plus de 40% des professionnels les moins rémunérés (moins de 35 000€ annuels) travaillent dans des structures de moins de 250 salariés, tandis que plus de 63% des mieux rémunérés (75 000€ et plus) exercent dans des entreprises de 1 000 salariés et plus.
La localisation géographique : les rémunérations en Île-de-France demeurent supérieures à la moyenne nationale, bien que l'écart tende à se réduire avec le développement du télétravail et l'implantation de pôles d'excellence en région.
Les certifications et l'expertise : les professionnels détenant des certifications reconnues (CISSP, OSCP, CEH) ou des expertises pointues (Threat Intelligence, sécurité du cloud) peuvent négocier des salaires sensiblement plus élevés.
L'expérience et les responsabilités : sans surprise, l'ancienneté et le niveau de responsabilité constituent les deux principaux leviers de progression salariale. Le passage à des fonctions managériales ou la spécialisation dans des domaines de niche accélèrent cette évolution.
Lire aussi : Quelles certifications pour briller en cybersécurité ?
Voici comment identifier les formations en cybersécurité qui préparent réellement leurs diplômés aux réalités du terrain.
Avec l’allongement des carrières, la maîtrise technique n’est aujourd’hui plus suffisante pour stabiliser un parcours professionnel sur le long terme. Dans un monde où nous devrons faire évoluer nos métiers voire nous réinventer, les soft skills sont tout aussi importants. Or l’âge idéal pour les développer est précisément la période des études supérieures - celle où la plasticité cérébrale est encore forte.
Concrètement : un jeune analyste dans une ESN pourra dans quelques années devenir chef de projet et gérer le placement et le suivi de jeunes analystes auprès de clients, ce qui nécessite des compétences commerciales et managériales. Ou bien devenir consultant freelance pour approfondir une excellence technique, et parvenir se “vendre” régulièrement en entretiens sur des missions diverses, porteuses d’enjeux de transformation RH ou de conformité réglementaire, par exemple avec la directive NIS 2 ou celle qui prendra sa suite. Dans les deux cas, ces changements requièrent une hauteur de vue et une familiarité avec les enjeux de l’entreprise, qui doit être développée dès la formation initiale.
Plus généralement, les experts en cybersécurité travaillent certes au quotidien avec des professionnels de l’informatique, mais aussi avec des opérationnels de différents métiers, des juristes, des RH, voire et des membres du Conseil d’administration pour défendre leurs choix et leurs investissements. Ces professionnels raisonnent d’une manière très différente des informaticiens…Il faut pourtant faire dialoguer si ce n’est aligner les modes de pensée pour anticiper, détecter et traiter les vulnérabilités et les incidents cyber, qui sont le plus souvent des phénomènes d’origine humaine. Les meilleures formations en cybersécurité sont donc celles qui parviennent à dynamiter les barrières entre les disciplines et donner cette vision d’ensemble aux futurs experts, tout en maintenant une forte exigence sur le plan technique.
Les recruteurs cherchent ainsi aujourd’hui des profils capables de comprendre, anticiper et même traduire les enjeux techniques en impacts business, en particulier pour les postes à plus haute responsabilité.
Toutes les formations en cybersécurité n’ont pas les mêmes approches en matière de pédagogie. Chez Cybersup, notre Bachelor 3 en cybersécurité adossé au titre d’Administrateur d’Infrastructures Sécurisées du Ministère du Travail, c’est environ 40 % théorie, 60 % pratique. Parce qu'à ce niveau, vous avez à la fois besoin d’acquérir les fondamentaux de la cybersécurité et de développer votre agilité technique dans un contexte de multiples projets concrets.
En Mastère, la maturité des étudiants permet d’accorder une place encore plus grande à la pratique, mais toujours articulée avec des cours pointus. Nous maintenons ainsi un niveau élevé d’intervenants externes de haut niveau pour approfondir les notions et immédiatement les mettre en pratique sur des projets de sophistication croissante. Une manière de cultiver l’autonomie des étudiants et de leur permettre d’atteindre un niveau d’expertise supérieur, notamment grâce à l’apprentissage accéléré par l’expérience et par l’erreur.
L'alternance dans la cybersécurité ? Un game-changer ! Non seulement elle finance votre formation, mais surtout elle vous donne cette expérience terrain que réclament les recruteurs. Se confronter au terrain est la meilleure des manières pour acquérir des compétences opérationnelles directement mobilisables en entreprise… et aussi pour trouver votre orientation privilégiée. L’alternance est difficile à obtenir, la demande excédant l’offre aux niveaux juniors. C’est la raison pour laquelle Cybersup accompagne fortement chaque étudiant motivé (et ayant réussi les différentes étapes du parcours d’admission) pour augmenter les chances de succès.
Mais si vous obtenez cette alternance, celle-ci constituera un tremplin professionnel unique pour démarrer avec succès une carrière dans la cybersécurité.
Vous aimeriez en savoir plus sur notre Bachelor 3 ou notre Mastère Cybersécurité ? Prenez RDV avec notre équipe pour vous aider dans votre choix d’orientation professionnelle.